Une autre douleur du confinement : la mise à la benne des pivoines et autres fleurs sacrifiées
Les producteurs français de fleurs coupées ont été à la fois victimes et bénéficiaires du confinement. Victimes, car ils se sont retrouvés privés de leurs principaux débouchés – les fleuristes et les grossistes – alors que la pleine saison commençait avec le printemps (exemple dans le Var avec les pivoines). Bénéficiaires, parce que leur profession a été médiatisée et soutenue par la vente en ligne alors que les importations étaient à l’arrêt. Pour retrouver l’intégralité de l’article sur la relance de cette activité, c’est ici.
Le Slow Flower : qu’est ce que c’est ?
Adepte du Slow et de toutes les tendances sociétales qui s’en inspirent, j’avais consacré un article pour présenter le mouvement Slow Flower au début du printemps.
Pour le relire, c’est ici.